Parce que j’avais envie et besoin de vivre et ressentir l’autre côté de l’objectif, petite séance autoportrait donc, ou selfies (améliorés certes) comme on dit de nos jours.
Parce que j’ai fais un travail sur moi, sur la durée, d’acceptation de soi, tel que l’on est.
Parce que jouer ainsi est plaisant et permet de casser des barrières, celles que l’on s’impose mais aussi celles que l’on aimerait que d’autres franchissent.
Parce que demander à d’autres de poser est bien plus simple que d’être devant l’objectif, donc pour aller à l’encontre de cela et montrer que oui, cela est réalisable et bien plus facile que ce que l’on pense.
Parce que je me trouve bien, à défaut de dire beau, sur ces photos et que j’ai plaisir à les regarder à nouveau.
Parce que l’on a qu’une seule qu’une seule vie et que ce corps on ne l’emmènera pas avec.
Parce que le regard des autres n’a finalement pas tant d’importance que cela et que la perfection est bien rare.
Parce que j’aime la normalité, même si elle peut être qualifiée ainsi aussi : “Pourquoi le monde est-il rempli de fous ? Pour que les autres se sentent normaux…”
Parce que, ou mille et une autres raisons encore.